PORTES OUVERTES EN FEVRIER (le 6.02. 2020)


                     
                                FAUSTs de Goethe, Pessoa, Louvet 

                                                   LES PHOTOS de LAURENT ANDRIEU

                                                                        Le Seigneur
                                                    L'activité de l'homme  peut trop aisément se relâcher,
                                                    Il aime céder au repos sans limite;
                                                    C'est pourquoi je lui donne volontiers le compagnon
                                                    Qui stimule, opère et doit agir en diable.

                                                                                     Goethe "Faust" -Prologue dans le ciel ( traduction de Jean Lacoste)



"Vous m’avez fait bigrement transpirer."
"Je salue le savant docteur !"


"Vous m’avez fait suer rudement."

"tout ce qui né est digne de périr"
"Je suis l’esprit qui toujours nie "
"
"Une partie de cette force qui veut toujours le mal et toujours fait le bien."

"
"La lumière orgueilleuse, qui maintenant dispute à sa mère la Nuit
Son rang antique et l’espace qu’elle occupait"

"Mais une chose suffit pour briser sa marche "

"Ainsi, tout ce que vous nommez péché,

Destruction, bref, ce qu’on prend pour le mal,

Voilà mon élément propre."


"La demande me paraît  bien frivole,

Pour quelqu’un qui a tant de mépris pour le Verbe"


"
"Embrasser avec l’extase la terre et le ciel,
Se gonfler d’une sorte de divinité"



"C’est avec effroi que le matin je me réveille,

En voyant ce jour  qui dans sa course n’accomplira pas un de mes vœux ; pas un seul !"



"Et pourtant la mort n’est jamais est un hôte bienvenu."



"Te voilà déjà épuisé, replongé dans la folie, l’angoisse et l’effroi."



"Lorsque tu es avec moi, tu te questionnes toujours,

Alors que tu ne dois qu’aimer."


"N’êtes-vous pas lassé d’une telle existence ?"

"Je veux mourir un morceau de ton corps en bouche."
La matinée de Méphisto après "les distractions ignobles"

La matinée de Faust après "les distractions ignobles"
La matinée de Faust après "les distractions ignobles"
"Sauve-là ! Ou malheur à toi ! La plus horrible malédiction sur toi, pour des milliers d’années"

"Je n’ai pas tout pouvoir au ciel et terre. "

"Et qui donc l’a entraînée à sa perte. Moi ou toi ? "

 

"Est-ce fini ?"

"Je troublerai les sens du geôlier, toi, prends ses clés et libère-là de ta main. "
"O, que cesse le temps !

Qu’il s’arrête, que cet instant à jamais demeure !"


Le salut à cour
Le salut à jardin





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